Suite au courrier adressé à M. le Recteur le 15 avril dernier, la situation a évolué mais le scandale demeure, d’où ce second courrier (1) :
(1) Une organisation syndicale, la FNEC-FP-FO, a écrit aux personnels concernés pour informer qu’elle n’est pas signataire de ce courrier (et pas non plus du suivant par conséquent), parce que » … les AESH se sont mobilisés le 8 avril, mais aussi le 24 mars sur des revendications précises qui ne portaient ni sur un salaire à 62% du SMIC, ni sur l’allongement de leur quotité de travail de 41 à 45 semaines mais pour un vrai statut, un vrai salaire et l’abandon des PIAL. » Au nom des objectifs généraux, il faudrait renoncer à un gain immédiat ? N’est-ce pas le meilleur moyen de ne jamais rien atteindre ? … aux AESH d’en juger !