Battre le fer quand il est chaud.
La grève nationale du 1° février a été un bon coup de semonce. La démission du recteur de Paris - qui, ceci dit, n'est certainement pas un militant de la "mixité sociale" ! - le lendemain, indique que la crise grandit dans les sommets. De vraies assemblées des personnels dans plusieurs villes ont souhaité la poursuite du mouvement. L'enjeu est de gagner contre le "choc des savoirs", les groupes [...]