La loi Macron/Dussopt dite de « transformation de la Fonction publique » a remplacé les Comités d’Hygiène et de Sécurité et des Conditions de Travail par des Formations spécialisées liées au Comités Sociaux d’Administration. Ce changement n’a rien de neutre, il vise à affaiblir ce qui est devenu un champ important d’intervention syndicale. Pour l’instant, nous faisons en sorte que les nouvelles « F3CT » fonctionnent comme les anciens CHSCT.
Au niveau académique (« F3SCTA »), Valérie Bardet (SNUIPP-FSU), et Florine Lazaro (SNES-FSU), représentent l’Allier avec Marc Bellaigue (SNES-FSU 63) et les suppléants Fabien Clavaud (SNES-FSU 63), Béatrice Manéné (SNEP-FSU 43) et Guillaume Guilebert (SNUIPP-FSU 15). Important : Florine, prof de Français à Paul Constans à Montluçon, est dans ce cadre référente académique Violences-Discriminations-Harcèlements-Agissements Sexistes et Sexuels.
Au niveau départemental (« F3SCTD ») les représentants FSU titulaires sont Annabelle Pocaly (SNUIPP-FSU), Pierre-Mathieu Daviet (SNUIPP-FSU) et Céline Bourdier (SNES-FSU); et les suppléants : Vincent Présumey (SNES-FSU), Alexandra Villechenon, AESH, (SNES-FSU), et Aurélie Peyras (SNEP-FSU). Annabelle, à partir de septembre, sera la secrétaire de la F3CTD, prenant la suite de Marie-Neige Verdier (UNSA) avec qui nous avons travaillé en transparence et confiance.
Les réunions plénières et groupes de travail traitent des Fiches Santé et Sécurité au Travail des collègues ; nous ne rendons pas compte publiquement, en principe, de l’examen de ces documents confidentiels. Mais les représentants F3SCTD demandent aussi à faire des visites et des enquêtes. Lors de la dernière réunion plénière le 29 juin, la FSU a fait le déclaration préalable ci-après, qui fait le point sur la situation de cette instance. Le passage sur le risque d’inertie est une allusion précise à un collège de l’Allier dans lequel sévit une situation problématique.